Pour de nombreux propriétaires d'animaux, la promesse de l'automatisation de la maison intelligente se transforme rapidement en frustration. Les lumières à activation par le mouvement, destinées à économiser de l'énergie, sont plutôt déclenchées par un chat traversant la pièce, s'allumant et s'éteignant toute la nuit. L'efficacité prévue disparaît, remplacée par une électricité gaspillée et une annoyance constante. Le problème ne vient pas de l'animal, mais de l'échec des capteurs de mouvement conventionnels à distinguer les occupants humains du trafic félin.
Rayzeek aborde ce problème non pas avec des algorithmes complexes, mais avec une géométrie de lentille délibérée. La solution est la coupure verticale, un design qui élève le plan de détection du capteur au-dessus du sol où les chats et autres petits animaux rôdent. En combinant cette contrainte géométrique avec une sensibilité calibrée, Rayzeek détecte de manière fiable les humains tout en restant complètement inconscient des animaux en dessous de son champ de vision. Son efficacité repose sur une compréhension claire de la position de montage et des limites de détection qu'il crée dans une maison typique.
Pourquoi les capteurs de mouvement standard échouent dans les maisons accueillant des animaux domestiques
Alors que les capteurs de mouvement sont prouvés comme économiseurs d'énergie dans les pièces vides, un animal domestique introduit une variable que les conceptions standard ne peuvent pas gérer. Un chat marchant dans un couloir est considéré comme un mouvement, activant ainsi la lumière. Lorsqu'il revient quelques minutes plus tard, le minuteur se réinitialise. Au lieu de réduire la consommation d'énergie, ce schéma la multiplie. Les familles qui ont investi dans l'automatisation pour réduire les coûts constatent que leur technologie augmente en réalité le gaspillage.
Le problème va au-delà des factures d'énergie. Une lumière de chambre automatique qui s'allume chaque fois que le chat bouge devient une perturbation majeure pour le sommeil. Un système de contrôle climatique réglé pour s'activer en cas d'occupation chauffe ou refroidit une pièce vide où seul un animal reste. La commodité prévue devient une relation antagoniste avec la technologie, conduisant de nombreux utilisateurs à désactiver complètement leurs systèmes intelligents et à renoncer aux avantages qu'ils recherchaient. Le marché propose depuis longtemps des capteurs de mouvement, mais peu ont résolu le défi fondamental d'ignorer les mouvements infrarouges au niveau du sol.
Comment les capteurs standard créent de faux déclenchements
Les capteurs passifs infrarouges (PIR) fonctionnent en détectant les changements dans le rayonnement infrarouge. Lorsqu'un corps chaud — qu'il s'agisse d'une personne ou d'un animal — traverse une zone de détection, le capteur enregistre la signature thermique changeante et déclenche une réponse. Le mécanisme est fondamentalement indifférent ; il ne peut pas faire la différence entre un humain et un chat basé uniquement sur la chaleur. Le facteur critique n'est pas ce que move, mais où il se déplace.

La plupart des capteurs de mouvement projettent un plan de détection horizontal large qui couvre une pièce du sol au plafond, assurant que tout mouvement humain soit enregistré. Ce design est parfaitement logique pour la détection d'occupation générale, car une personne assise, debout ou marchant croisera la zone. Cependant, cette couverture étendue garantit que tout corps chaud en mouvement à travers le sol déclenchera également une alerte. Comme les chats, chiens et autres animaux vivent au niveau du sol, ils se trouvent précisément dans ce champ de détection principal. Le capteur ne se trompe pas ; il fonctionne exactement comme prévu. La discordance surgit lorsque l'application exige une sélectivité qu'un plan de détection du sol au plafond ne peut fournir.
Coupure verticale : élever le plan de détection
La coupure verticale est une conception de lentille qui empêche simplement le capteur de regarder vers le bas. Au lieu de projeter un champ de détection s'étendant du plafond au sol, la lentille limite physiquement la frontière inférieure de sa vision. Le capteur est incliné pour voir vers l'extérieur et légèrement vers le bas, mais jamais suffisamment en pente pour voir directement le sol sous ou près de son point de montage. Le mouvement en dessous de ce seuil reste invisible.
La lentille y parvient en manipulant les angles de rayonnement infrarouge qui peuvent atteindre le capteur. Un capteur PIR standard utilise une lentille de Fresnel avec des segments couvrant une large gamme verticale. En éliminant ou en masquant les segments de lentille inférieurs, la conception Rayzeek supprime les angles orientés vers le bas du champ de détection.
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Cela crée une frontière de détection surélevée avec une géométrie claire. Par exemple, si un capteur est monté à huit pieds avec une lentille qui l'empêche de voir à plus de 30 degrés sous l'horizontale, son plan de détection ne commencera pas au mur. Au lieu de cela, il commence à plusieurs pieds en dehors, flottant au-dessus du sol à courte distance. Directement en dessous du capteur se trouve une zone morte complète. Au milieu de la pièce, le plan pourrait planer à trois ou quatre pieds du sol. Ce n’est qu’au mur opposé qu’il descend vers le sol à mesure que l’angle s’aplatit.
Cette géométrie crée une « zone sûre » où les petits animaux peuvent se déplacer librement sans déclencher de réponse. Un humain en train de marcher, dont le torse est bien au-dessus de ce plan, sera détecté de manière fiable.
Hauteur de montage et géométrie de la zone de détection

La hauteur de montage est la variable la plus importante pour réussir. Une hauteur de montage de huit pieds ne crée pas un plan de détection de huit pieds de haut ; au contraire, la hauteur du plan varie en fonction de la distance par rapport au capteur. L'objectif est de monter le capteur suffisamment haut pour que ce plan flottant reste au-dessus d’un chat mais en dessous du torse d’un humain dans la majorité de la pièce.
Dans les maisons avec des plafonds standard de huit à neuf pieds, monter un capteur Rayzeek près du plafond produit un plan de détection idéal qui flotte environ trois à quatre pieds au-dessus du sol au centre de la pièce. Il est bien au-dessus d’un chat, qui dépasse rarement un ou deux pieds en hauteur, même en position assise. Cependant, un torse humain intersecte facilement ce plan.
La couverture n’est pas uniforme. La zone morte est directement en dessous du capteur, tandis que la zone tampon immunisée contre les animaux se trouve au milieu de la pièce. Aux extrémités, le plan de détection s’abaisse, mais cela est rarement un problème car les animaux de compagnie ne lévitent pas et le mouvement humain est toujours facilement détecté. Le système est le plus vulnérable dans des espaces avec des plafonds bas (sept pieds ou moins), car cela comprime la géométrie et réduit la zone sûre. Dans ces cas, il est essentiel de monter à la hauteur maximale possible.
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Réglage de sensibilité : une sauvegarde secondaire
Alors que la coupe verticale résout le problème spatiale la sensibilité aborde le seuil problème. La sensibilité contrôle la quantité de changement infrarouge nécessaire pour déclencher le capteur. C’est un complément puissant à la géométrie de la lentille, mais il ne peut pas la remplacer. Se fier uniquement à la sensibilité est une stratégie insuffisante, car la signature thermique d’un grand chat peut être similaire à celle d’un petit enfant.
Lorsqu’ils sont utilisés ensemble, le système devient plus robuste. Un chat qui parvient à entrer dans le plan de détection—peut-être en sautant sur un meuble—peut toujours être ignoré si la sensibilité est réglée pour des masses thermiques plus grandes. Pour les maisons avec seulement de petits chats, la sensibilité peut être laissée à un niveau modéré, car la coupe verticale fait la majeure partie du travail. Pour les maisons avec de grands chiens pouvant se dresser dans le plan de détection, réduire légèrement la sensibilité ajoute une autre couche de protection sans compromettre la détection humaine. La lentille géométrique est le filtre principal ; la sensibilité est le réglage fin.
Montage pratique dans des maisons typiques
Les principes sont universels, mais la meilleure position de montage dépend de l'agencement de la pièce, de la hauteur du plafond et des trajectoires de passage. L'objectif est toujours de positionner le capteur où les personnes croiseront de manière fiable le plan de détection pendant que les animaux de compagnie restent en dessous.
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Placement dans le coin
Installer un capteur dans un coin près du plafond offre le champ de vision le plus large et la couverture la plus cohérente. Cette position minimise les zones mortes et assure que toute personne entrant dans la pièce sera détectée. Dans un salon ou une chambre typique, un capteur monté dans un coin surplombe la plupart des meubles bas, bien que des bibliothèques hautes puissent créer des angles morts. Choisissez le coin avec la meilleure ligne de vue sur les portes et les principales zones d'activité.
Couloirs et espaces étroits

Dans un couloir, la meilleure position est à une extrémité, visant la longueur du couloir. La coupure verticale permet à un chat de parcourir tout le corridor sans être vu, tandis qu'une personne est détectée instantanément. Si le montage au plafond est difficile, un support mural en hauteur peut fonctionner, légèrement inclinée vers le bas mais pas de façon si directe qu'il voit de près le sol.
Toutefois, le système repose sur une hypothèse clé : que les animaux restent près du sol. Qu'en est-il des chats qui grimpent ? Un chat qui saute régulièrement sur un plan de travail élevé ou une bibliothèque peut entrer dans le plan de détection. C’est une limite de toute approche géométrique. Vous pouvez l’atténuer en positionnant le capteur pour éviter les lignes de visée directes avec le mobilier où les chats percheraient, ou en abaissant la sensibilité. La technologie est optimisée pour le comportement normal des animaux de compagnie, qui se concentre principalement au sol, et non pour les maisons où les chats passent leur temps à opérer à la hauteur des humains.




























